Maxi Alma : Révélation tardive, mais révélation quand même.
Je n’étais pas entré chez Maxi depuis environ 15 ans. Je sais, je sais. C’est presque criminel. Mais bon, on est tous des créatures d’habitudes. Moi, j’étais dans le clan Metro–IGA, comme si l’épicerie c’était une secte et qu’on ne pouvait en sortir sans un rituel.
Et puis un jour, je me suis dit : pourquoi pas Maxi? Juste pour voir. Et là… surprise.
C’est pas le Maxi de l’époque. Fini l’ambiance entrepôt grisâtre, les néons tristes et les palettes à moitié déballées. Non. Maxi Alma, aujourd’hui, c’est propre, bien rangé, lumineux, presque… chaleureux? Genre, t’as envie d’acheter des légumes là-bas. Volontairement.
Tout y est clair, simple, direct. Tu trouves ce que tu veux sans avoir l’impression de partir en expédition. Et le plus choquant dans tout ça ? C’est vraiment pas cher. Genre, j’ai payé et j’ai pas eu mal au cœur. J’ai même souri. (Le caissier m’a regardé bizarrement.)
Donc voilà. Après 15 ans d’ignorance volontaire, je dois l’admettre : Maxi Alma mérite sa place sur ma carte mentale des bons spots. Les prix sont les plus bas en ville. L’ambiance est correcte. Et je suis ressorti avec du lait, des fraises, et une nouvelle philosophie de vie.
Tout ça pour dire : des fois, faut juste redonner une chance à la fille qu’on avait mis sur la touche. Parce que peut-être que pendant qu’on boudait, elle s’est refait une beauté et vend maintenant des bananes à 49 cents la livre.
Le personnel est gentil et courtois avec les clients. Les employés ont dû plaisir à travailler ensemble. Je fais 90% de mes achats d'épicerie à cet endroit.
L'épicerie est correcte mais pour sortir il y a une petite barrière qu'un employé doit manuellement ouvrir, un risque majeur de sécurité en cas d'incendie.
Frédéric B.il y a moins d'une semaine
Maxi Alma : Révélation tardive, mais révélation quand même. Je n’étais pas entré chez Maxi depuis environ 15 ans. Je sais, je sais. C’est presque criminel. Mais bon, on est tous des créatures d’habitudes. Moi, j’étais dans le clan Metro–IGA, comme si l’épicerie c’était une secte et qu’on ne pouvait en sortir sans un rituel. Et puis un jour, je me suis dit : pourquoi pas Maxi? Juste pour voir. Et là… surprise. C’est pas le Maxi de l’époque. Fini l’ambiance entrepôt grisâtre, les néons tristes et les palettes à moitié déballées. Non. Maxi Alma, aujourd’hui, c’est propre, bien rangé, lumineux, presque… chaleureux? Genre, t’as envie d’acheter des légumes là-bas. Volontairement. Tout y est clair, simple, direct. Tu trouves ce que tu veux sans avoir l’impression de partir en expédition. Et le plus choquant dans tout ça ? C’est vraiment pas cher. Genre, j’ai payé et j’ai pas eu mal au cœur. J’ai même souri. (Le caissier m’a regardé bizarrement.) Donc voilà. Après 15 ans d’ignorance volontaire, je dois l’admettre : Maxi Alma mérite sa place sur ma carte mentale des bons spots. Les prix sont les plus bas en ville. L’ambiance est correcte. Et je suis ressorti avec du lait, des fraises, et une nouvelle philosophie de vie. Tout ça pour dire : des fois, faut juste redonner une chance à la fille qu’on avait mis sur la touche. Parce que peut-être que pendant qu’on boudait, elle s’est refait une beauté et vend maintenant des bananes à 49 cents la livre.
Sophie S.il y a 2 mois
Le personnel est gentil et courtois avec les clients. Les employés ont dû plaisir à travailler ensemble. Je fais 90% de mes achats d'épicerie à cet endroit.
David L.il y a 5 mois
beau maxi avec beaucoup d'inventaire et des bons prix
Samuel L.il y a 10 mois
L'épicerie est correcte mais pour sortir il y a une petite barrière qu'un employé doit manuellement ouvrir, un risque majeur de sécurité en cas d'incendie.